Le blog de travestie08

1. Porter de la lingerie quotidiennement : 80% 
Une étape très importante pour se sentir vraiment femme, avec de la lingerie vous vous sentirez plus féminine, plus enclain à séduire un homme et plus coquette et cette féminité peut vous donnez plus confiance, ce qui est très important quand on veut devenir une femme !

 

2. Sucer un gode : 65%
C’est une de mes activités préférées.  Naturellement, quand on est en porte-jarretelles et talons aiguilles, on ne rêve pas de jouer à Rocco. On cambre les fesses, on prend des poses lascives et… on a envie de tailler une pipe ! Je prends un plaisir monstrueux à sucer mon gros gode avec application, ça me fait mouiller comme une folle et je pourrais sucer une heure durant ! Je m’entraîne de temps en temps aux gorges profondes. Je progresse…

3. Connaître le plaisir anal : 100%
J’ai fait connaissance avec un gode-ceinture et j’ai déjà joui plusieurs fois de cette manière sans même me toucher, juste en sentant les coups de reins de mon épouse contre mes fesses. On ne le fait pas souvent car l’étape lavement est vraiment fastidieuse. Mais ça me manque parfois de ne pas avoir une queue enfoncée bien au fond de mon cul pendant que je pompe 

4. Se masturber en pensant à un homme : 45%
A vrai dire, si je me touche c’est presque systématiquement « en femme ». Bah oui, quand j’ai envie d’un coït « normal » je demande à ma femme, même s’il nous arrive aussi de faire les lesbiennes. Il y a quelques mois, elle m’a donné le gage suivant : « tu te branles en pensant à un homme bien précis ». J’ai choisi un acteur américain, mais franchement ça ne fonctionne pas vraiment chez moi tant les hommes ne m’excitent pas. En revanche, je peux me caresser la main dans la culotte et jouir très vite en imaginant un amant imaginaire qui me donnerait sa belle queue à sucer et m’enculerait comme une chienne avant d’éjaculer dans ma bouche. A vrai dire, ça marche même à tous les coups…

5. Avaler du sperme: 100%
Je le fais régulièrement depuis plusieurs mois. Ma femme n’est pas particulièrement excitée par les jeux de sperme, mais elle ne voit pas d’inconvénient à ce que je joue toute seule, donc j’en profite  L’avantage par rapport à la sodomie, c’est que lécher ou boire sa semence ne demande aucune préparation, si ce n’est une préparation psychologique. Après une demi-heure de pipe sur mon gode, j’ai toujours un désir intense de sentir du foutre dans ma bouche comme récompense ultime de mes efforts, exactement comme si j’avais moi-même fait jouir un homme. Mais sachant que j’aurais beaucoup moins envie après l’orgasme, je choisis le plus souvent d’éjaculer directement dans ma bouche grande ouverte. Je peux ainsi tout recracher ou avaler jusqu’à la dernière goutte sans me poser de question.

6. Sucer une vraie queue : 70%
C’est sans doute l’étape bi la plus « facile » à réaliser et celle qui me tente le plus. Ma femme ne serait pas contre d’ailleurs. Le problème pour moi, c’est qu’il y a généralement un homme autour de la bite et là ça me tente moins  La solution, si j’y tenais vraiment un jour, serait sans doute le glory hole, mais ça ne se trouve pas à tous les coins de rue ! Quant aux plans gays un peu glauques non merci. Du coup, ça reste aujourd’hui un fantasme.

 

7. Recevoir une éjac faciale : 80%Avec la fellation, l’éjac faciale c’est mon fantasme ultime ! J’aimerais tellement savoir ce qu’on ressent quand un mec est sur le point de jouir et que vous attendez à genoux la bouche grande ouverte ! La sensation doit être incroyable. Pour approcher cette sensation, j’ai même acheté un gode éjaculateur que je peux remplir avec mon sperme. Mais problème là encore, l’envie passant souvent après l’orgasme, je ne l’ai testé qu’une fois et j’étais moyennement motivée… J’aimerais recevoir du foutre alors que je suis super chienne ! J’ai tellement envie de sperme chaud dans ces moments que je supplierais pour qu’on m’éjacule dessus. Si j’ai l’occasion un jour, j’en profiterai un max. Mais je devrai faire gaffe car je serai déjà tellement excitée d’avoir pompé une vraie pine que, si ça se trouve, j’aurais déjà éjaculé dans ma culotte avant l’instant rêvé 

 8. Se faire baiser : 90%
Là aussi c’est un grand fantasme. J’adore ma femme et son gode-ceinture, mais sentir une vraie queue ce doit être autre chose. Quand il m’arrive d’y penser, j’imagine que j’ai mis ma tenue la plus salope et que je me fais baiser avec ma chérie qui regarde. J’écarterais bien mes fesses, je dirais à mon amant de me défoncer comme une pute et je connaîtrais probablement très vite un orgasme rien qu’en pensant au fait que je me fais baiser comme une vraie femme. La cerise sur le gâteau, ce serait ma femme qui me parlerait en disant « quelle pute tu es, regarde-toi, tu l’aimes cette bite hein salope ? » Hum…

9. Se faire deux mecs : 100%
Une dans le cul, une dans la bouche, what else ? Là encore, je connais avec deux godes et c’est déjà hyper excitant. Sentir qu’on se fait mettre par tous les trous, n’être qu’un objet sexuel, ce serait le top. Je le dis souvent, la relation bisexuelle n’est pas la finalité de ma féminisation. Ce qui m’amuse et m’excite, c’est d’abord le jeu tellement insolite. Ensuite, c’est le voyage qui vous mène à un endroit où, a priori en tant qu’homme, vous n’avez aucune chance d’aller. J’ai eu une vie sexuelle riche avec des femmes, je suis un homme qui contrôle. Aujourd’hui, le plus excitant pour moi est précisément de faire l’inverse. Me faire mettre et soumettre. Dans cette optique, sucer un mec pendant qu’un autre m’encule, ce serait sans doute le bout du monde.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

10. Avoir un amant régulier : 40%
Et aucune chance en ce qui me concerne… Je n’aime pas les hommes, c’est comme ça. Je pense que parmi les hommes féminisés et les travestis occasionnels, ça doit être du 50-50. Ceux qui rêvent réellement d’être une femme et donc de sortir avec des hommes et ceux, comme moi, qui ne l’imaginent même pas. J’aime trop le corps des femmes et de la mienne en particulier. J’avoue cependant que dans les périodes où je suis vraiment salope, ça m’exciterait qu’elle me dise un truc du genre : « Bon, fini de jouer. Si tu veux vraiment être une bonne salope, sucer et porter de la lingerie tous les jours, la condition c’est que tu te tapes régulièrement un mec et tu te fais baiser à la maison un soir par semaine, comme une vraie fille. Tu le reçois habillée comme une pute, tu lui sers à boire, tu lui suces la bite devant la télé et pour finir tu te fais enfiler une heure ou deux en criant comme une chienne. Voilà le deal. Si tu ne le fais pas, fini la lingerie et ces conneries. On arrête tout ! » Comme elle sait que je ne peux plus m’en passer, si je la croyais vraiment capable de sévir, je m’exécuterais. Mais une fois que je me serais faite démonter deux fois, que le fantasme aurait été réalisé, je pense que j’aurais surtout envie de reprendre ma vie d’avant.
Bref, il me reste pas mal d’étapes, les plus importantes. Pas sûr que je les franchisse un jour…