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C’est une des règles de ma féminisation que je tente de respecter régulièrement.
Ce n’est pas toujours le cas, mais disons au moins une fois par semaine j’essaie d’adopter un comportement sexuel typiquement féminin quand je me touche. Voilà quelles sont les composantes essentielles :

1. S’habiller 100% féminin

D’abord, je me rase de près, je taille mon pubis en ticket de métro comme une petite chatte et je vais dans ma penderie choisir une tenue féminine à commencer par des sous-vêtements très sexy. Mais depuis peu je ne m’habille pas forcément en pute avec bas, porte-jarretelles et tout le tremblement. Hier, j’avais un jean de femme, mes talons aiguilles noirs et un top blanc en dentelle. Dessous, juste un string et un soutien gorge noir dont on pouvait deviner les bretelles. J’ai simplement agrémenté le tout d’un joli collier. Une vraie femme quoi !

2. On se caresse comme une femme

Interdiction de branler son clito comme un homme ! Hier lors de ma masturbation de fille, j’ai choisi de prendre un gode dans ma bouche tout en glissant une main dans ma culottesans retirer mon pantalon. Il va de soi que deux positions sont préconisées : sur le dos les jambes bien écartées ou à quatre pattes. Hier, mon clito n’était pas « sorti » il était compressé dans mon string et mon jean hyper serré, c’est un détail important pour conserver une attitude féminine.
Même si la tentation est forte de le « libérer », je résiste et paradoxalement ça décuple l’envie de jouir. Généralement, surtout si je n’ai pas éjaculé depuis plusieurs jours, je peux sans problème jouir sans me « branler » comme un homme. Le simple fait de caresser mon entrejambe m’amène près de l’orgasme. Je dois même interrompre régulièrement pour ne pas jouir dans mon string.

3. On suce et on se fait baiser

Même si comme moi votre femme est complice, interdiction formelle de la prendre lors des séances dédiées au plaisir féminin. Outre le fait de se caresser, les seuls plaisirs autorisés sont se faire pénétrer et sucer une queue. NB : les 2 en même temps sont vivement recommandés  ! Personnellement et même si j’adore ça, je n’ai pas besoin de me pénétrer avec un gode pour parvenir à l’orgasme. Le simple fait de sucer un beau gode réaliste me fait généralement jouir en dix minutes… Si je m’introduis un objet, je pars en une minute sans même avoir besoin de caresser mon clito 

4. On gémit et on soupire

Pas de grognements masculins ! Jusque dans la voix, il faut adopter tous les détails de la féminité. Quel que soit le plaisir et le moyen d’y parvenir (en s’introduisant un gode dans le cul, en pompant une grosse queue ou en se caressant), seuls les gémissements et les soupirs très délicats sont autorisés. Evidemment, on évite la voix grave. Il faut partir un peu dans les aigüs et privilégier la douceur et la sensualité.

5. Exprimer ses sensations au féminin

Pour accentuer l’exercice, il est bon deparler de soi au féminin ET d’entamer un dialogue  imaginaire avec un homme. Car c’est bien d’un mec dont vous avez envie. Refoulez donc tout fantasme mettant des femmes en scène et si vous vous masturbez devant un film X, il est évident que c’est la position de la femme que vous tenterez de transposer sur vous. Une fois que vous êtes dans le personnage,manifestez à voix haute votre désir : « Hum, je suis en chaleur… », « J’ai envie de ta bite », « J’aime te sucer », « Prends-moi », « Défonce-moi la chatte », « Baise-moi fort avec ta queue… », etc

6. Vous jouissez, vous léchez 

Cette séance masturbatoire étant féminine jusqu’au bout, si vous vous autorisez l’orgasme,il est essentiel d’avaler votre propre sperme après éjaculation pour assumer le fait que vous avez désiré être prise comme une femme. Personnellement, c’est désormais devenu une sorte de bonne résolution que je m’impose. Quand je me touche « en fille », je suis une fille pendant tout le temps que dure l’excitation et tout au long du processus, je rêve non seulement de bouffer une queue, mais je manifeste à plusieurs reprises l’envie de faire jouir un homme et de me faire asperger de son sperme.
Quelques instants avant de jouir, ce désir est à son paroxysme et je donnerai tout pour sentir des giclées de foutre chaud sur ma langue et dans ma gorge. Comme je sais que, au moment de la jouissance, ce désir va s’estomper, au moment où l’excitation est la plus forte je me jure à moi-même d’avaler mon sperme après. Je ne respecte pas toujours ce à quoi je m’engage (la plupart du temps c’est tout avaler jusqu’à la moindre goutte), mais je ne flanche plus jamais sur le principe. En résumé, je vais systématiquement en avaler une partie sur mes doigts ou encore lécher longuement mon gode recouvert de foutre pendant une petite minute ou jouir directement dans ma bouche… Cette activité n’est certes pas représentative de la jouissance féminine, mais c’est une résolution qui me permet d’assumer jusqu’au bout de ma masturbation ma condition de fille